I am devastated, dumbfounded, dismayed,
These people are so stupid, or crazy,
They threw some hot soup
On a painting by Claude Monet,
These people are ridiculous, wicked,
Who will listen to them? Not me,
How can you believe what they say?
They destroy immortal works,
These people are so stupid, or crazy,
No one will defend their cause,
They’re like child killers
Who come to talk to us about God.
Je suis catastrophé, médusé, atterré,
Ces gens sont si idiots, ou fous,
Ils ont jeté de la soupe chaude
Sur une toile de Claude Monet,
Ces gens sont ridicules, méchants,
Qui voudra les écouter ? Pas moi,
Comment croire ce qu’ils disent ?
Ils saccagent des œuvres immortelles,
Ces gens sont si idiots, ou fous,
Personne ne défendra leur cause,
Ils sont comme des tueurs d’enfant
Qui viennent nous parler de Dieu.
L’amoureux brindezingue dit non avec la tète
Le cerveau fort agité amèrement s’embête
Pendant qu’il dit oui avec le cœur enflammé
D’un amour incertain, embaumé et emmitouflé
Oh ! Quelle bête! Les femmes ont toujours raison
Même quand elles ont tort. La gravité défie la raison
Dit-on, d’un air funambulesque et prodigieux
L’amour à sens unique est bizarre et malheureux
Quelle folie de se voir noyer dans l’entonnoir de l’étang
Le fou rire le prend, le cancre a gaspillé tout son temps
L’amoureux désaxé au lieu de rencontrer le grand bonheur
Se voit masquer dans les cendres noires d’un triste malheur.
Copyright © Avril 2022, Hébert Logerie, Tous droits réservés
Hébert Logerie est l'auteur de plusieurs recueils de poésie.
Le jour à se rappeler
Mon Dieu avec guidance
Un moment de silence
Nous rendons notre respect
Vos souvenirs sans regret
Dieu nous relève
Terminer la grève
Jésus est venue sauver
Ses petits souliers non oubliés
Dans nos coeurs remplis d'amour
Dieu voilà à votre secours
Le sentiment de mon coeur
Vous apportera notre bonheur
Dieux reprend premier
Votre sourire
Est fait pour rire
Votre amusement
Sera mon vent
Qui nous apportes
Loins de nos portes
Chanson en tête
Merci ont fêtes
La vie de guérir
Des beaux avenirs
Vous le sachiez
Nous sommes pied à pied
Vous le voyez
Vous le croyez
I’ve got size ten feet, you know what that implies
Maybe that's why there’s a spark in her eyes
She said if I give her a hand ’round the house
She’ll give me a naughty surprise
She held out a costume I’d not seen before
Though I stood there hoping I’d see it much more
Sweet Jesus, I think its a sexy french maid
She said, ‘Wanna play?’ Well, I could be swayed
Oh God, fishnet stockings and white ruffled knickers
My eager mind’s racing, It’s all Tarts and Vickers
Those pointy stilettos, the apron and hat
I’m gagging to see my sweet baby in that
It looks a bit large, the size slightly wrong
Who gives a damn... it won’t be on long
That PVC skirt falls short of ‘discreet’
But why are those shoes made for size ten feet?
M-ake Monday morning
A-ble to greet the dawn;
D-eny the Sunday night,
E-vening shadows are gone.
L-et twenty-sixth December
M-eet another new day;
A-iming to warm your birth,
R-ising sun brightens the gray.
C-old chill and pouring rain
A-re nowhere to be found;
B-ecause of the fine weather,
A-ll you hear is the sweetest sound.
N-o more mist in the air,
A-s well as the smoke;
D-ont let the haze remain,
A-s you find the luck's stroke.
There worra a young lad called Albert,
He were allus up t' no good,
He'd stand ont corner by t'lamp post,
sparkin' 'is clogs like mad,
'til day he were caught by 'is Dad.
Dad said to him, now stop it,
Tha's wearin' out tips my lad,
an I'll 'ave t' up n fix 'em
wi me hammer n me last,
Then 'e gave Albert a clip round earhole,
wi' edge o' his cloth cap as he passed.
Albert thought sparkin' were painful,
holdin' 'is ear, n sheddin' a tear
So he buggered off in t' next street,
mekkin sure is Dad weren't near.
In Lancashire dialect
© Dave Timperley 18 July 2017.
notre objectif est-il la mort
la reponse a cette question je l'ignore
peut etre il n y a que ca de reel
datteindre le paradis et le repos eternel
de rejoindre les etres qui nous ont quitte
de rester pres d'eux pour l'eternite
de quitter ce monde rempli d'impurite
pour trouver une place qui nous est reserve
en nous quittant l'anne derniere
tu nous as montre a quelle point tu etais essentiel
te revoir rien qu une fois serait mon voeu le plus cher
en tout cas notre prochaine rencontre se deroulera dans le ciel
Ne t’inquiète pas, un jour tu les retrouveras
Ceux qui nous ont quitté et qui ne sont plus la
Dis-toi que tu as gagné un ange gardien
Qui te protège dans cet environnement incertain
Ne verse plus des larmes de tristesse
Ça ne sert à rien de pleurer sans cesse
Pense qu’ils sont au paradis
Et qu'ils vivent une vie sans problème ni soucis
Je pense à toi chaque jour
En me rappelant ton affection et ton amour
Veille bien sur moi car j'ai besoin de toi
Je ne pourrai pas continuer sans toi
Transmets ton bonheur et ta joie
De mon cote je vais continuer ma vie an
Profitant de ces joies et de ces folies
La vie et la mort ont ete separes
Et ils ne pourront plus se cotoyer
ils crient de leur douleurs
sans pouvoir arreter leur pleurs
la vie lui envoie des ames qui quittent notre monde
pour lui montrer combien elle lui manque chaque seconde
la mort recoit ses cadeaux
et les range de sitot
la vie est remplie de folie
on y pleure souvent et on y rit
la mort est remplie de douleurs
ou ces ames errantes n'arrivent pas a secher leur pleurs
ils se sont separes
comme une riviere par un rocher
mais la fin du chemin
ils se rencontreront car c'est leur destin
Le gommier de la Municipalité – Translation of Oodgeroo Noonuccal’s “Municipal Gum” by T. Wignesan
Le gommier qui se trouve sur la rue de la ville,
Le bitume autour de tes pieds,
Il vaudrait mieux que tu sois
Dans le monde des espaces fraiches entouré d’arbres feuillus
de la forêt
Et des chants des oiseaux sauvages.
Ici tu me parais
Comme ce pauvre cheval de trait-là
Castré, démoli, une chose écartée et damnée,
Harnaché et bouclé, c’est l’enfer prolongé,
Dont la tête baissée et le mien fade exprime
L’espoir à jamais perdu.
Le gommier de la ville, c’est douloureux
De t’apercevoir ainsi
Figé dans ta pelouse noircie de bitume –
O concitoyen,
Qu’est-ce qu’ils ont fait de nous?
© T. Wignesan – Paris, 2016
As far as I can remember,
They were souls connected with mine.
But all the bridges of our friendships
Have moved away:
The boats have broken off their moorings,
And I do not know whether I am going astray,
But each on the station's platform,
Took they own roads of chance.
Souls may have crumbled,
By following their destiny.
These are missing faded away in the adventure,
Having lost their true nature,
By plunging towards infinity,
They were lost in oblivion .
-
And in the original conception ( in french )
-
Autant que je me souvienne,
c'étaient des âmes liées à la mienne.
Mais tous les ponts de nos amitiés
se sont éloignés :
les barques ont rompu leurs amarres,
et, je ne sais si je m'égare ,
mais chacun sur le quai de la gare,
a pris les routes de hasard .
Les âmes se sont peut-être abîmées,
en suivant leur destinée.
Ce sont des points disparus dans l'aventure,
ayant perdu leur vraie nature,
En plongeant vers l'infini ,
ils se sont perdus dans l'oubli.
-
RC - nov 2016
Wake up from your dream of sleep;
Assure yourself of His love;
Assume yourself in the seat of grace;
March on with the light of the morning,
Strife hard to catch a glimes of the afternoon,
For as the sun shines on the good,So does it shine ont the bad,
Encounter The grace of the moment:
Because you are favoured to be alive today,
Tell the world of him alone
And trust His word with all your heart and might
Approach His throne room with a careful step
And bless the Lord with all your heart and mind!!!!
Un oiseau a volé
Je rêve
La fleur rêve
Rêves qui tombent du ciel
Amer est le miel
Toutes les fleurs se sont noyées sous la pluie
Moi, je ne sais pas qui je suis
Sauf que j’ai été perdu toute ma vie
Mort ou vivant
Tous les rêves ont disparu
Même toi
Les passants, les passages
Fantômes de la nuit
Avec aucun visage
Les passants pensée est un mirage
Le mirage voit des visages vides seulement
Les passages ont des secrets
Les passants voient pas
Le roman se termine
Quand les amants cessent de tenir la main
les passage est noir
Au fond de la terre
Lorsque les trains nous emmènent nulle part
Écouter tranquillement
Tous les passants pleurent
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