Best Besoin Poems
Note: This is not a poem, just a riddle :)
Pour Juliette Girardot
Si vous me donnez 1000 essaie
Si vous me donnez 1000 valses
La réponse que je donnerai
Ca sera toujours la même
J’ai besoin mais une seule essaie!
Jacques Brel
La chanson "La Valse a mille temps"
Je pense qu'il n'y a pas un poème lyrique française, ou un poème, ou sonnet dans toute la République française, que je ne sais pas!!!!
Maintenant, une énigme pour vous!
Je suis un Steak
Je suis originaire de Bretagne en France
Je suis le père de la romance
Je me suis cassé le bras à Niagara Falls au Canada
Mais je suis mort, un pauvre homme à Londres
Les paroles que je parle
Sont d'outre-tombe
Qui suis-je ?
We all need sun, O white pulp
Pineapple and soft light, mango
Me first, then the policeman, then Solène,
We need a long Brazilian nap,
in Bahia or on the fine sand of Copacabana.
The tanned skins are full of secrets,
Vitamins, pulp and sunsets
The tanned skins know our defects,
The erotic dreams, you liked so much,
I pray my Sweet that the time amazes you,
We all need sun, O white pulp
Pineapple and soft light, mango
Lyonnais as Parisians with glasses, need it
Acidulous slowness and charming apricots,
Come on, friend, let’s go to Brazil.
On a tous besoin de soleil, O blanche pulpe
D’ananas et de lumière douce, de mangue
Moi le premier et le gendarme, puis Solène,
On a besoin d’une longue sieste brésilienne,
à Bahia ou sur le sable fin de Copacabana.
Les peaux tannées sont remplies de secrets,
De vitamines, de pulpe et de couchers de soleil
Les peaux tannées connaissent nos défauts,
Les songes érotiques , vous ont tant plu,
Je prie ma Douce que le temps vous étonne,
On a tous besoin de soleil, O blanche pulpe
D’ananas et de lumière douce, de mangue
Les lyonnais comme les parisiennes à lunettes,
De lenteurs acidulées et de charmants abricots,
Viens l’amie, embarquons pour le Brésil.
Son,
these words of my heart
will neither come out of pity
nor will go down the wind
nor, again, will build any city.
But lend me your ears, baby,
and listen to what an old man
can say despite the rods of men.
Live up to your own ambitions.
Keep your heart alive
and your mind working
with honor and passion.
Take this over from my heart
that has suffered for so long.
Son,
There is always a good thing
to think of and to do
instead of fruitless tarrying.
Let not the cold world
affect you and do its worst.
there is always something
good to be done against it.
Son,
be careful of those people
who call themselves your friends,
your enemies are known.
They both have not become
what they have become
only because the mind, without
the heart, sees differences
and builds on them obstacles
to divide rather than unite.
They used, it is gone now, to be
your friends and the circle
the circle is open and far from full.
Son,
When the light and the sun rays
are leaving, remember to perceive
the natural attitude and substance
of daffodils and innocent flowers.
Hide your tears, baby, from men
and let them fall alone to freshen
the sight of your eyes and vision.
Open your inward eyes of Earth and Eden.
Son,
Be always on the move
and fear not the elements
of submission and contrition.
The light is coming in
and love is all around you.
Fear them no more.
Bring yourself to accept
your destiny and look at
the horizons of your heart
to improve your tools
and feel the power of patience
and reap the harvest of resistance.
So much depends on them,
so much depends on you.
Have time to work, son,
and have time to play.
Seek to be simple
and look up at
the sunny sphere
without a pair of glasses
Your eyes are for Earth and Eden
Keep them pure and undefeated.
But see !!
When the rain comes
as it will in autumn and spring,
summer and winter, son,
don't rush to get an umbrella
and cover your head like many
of them would do and would not.
You already have more than it
your smile can make it
and the flowers around you
will make it and come along
to live with you and teach you
how to be yourself and be
one sunny day, to your sons
and daughters, little son,
the father my father
has never been for me.
Chokri Omri
" L'amour a besoin des yeux, comme la pensée a besoin de la mémoire. "
Les Souvenirs de Noël – Translation of Joy Williams’s « Memories of Christmas » by T. Wignesan
(Joy Williams, b. 1942 in Sydney. Since she was born « fair » of skin, the authorities forcibly removed her as a baby to be placed in a children’s home, and at the age of 6 to be assimilated in a « white » institution. She later studied for a B.A. at Wollongong University in New Soth Wales.
Joy’s first born, Julie-Anne Joy, was taken from her at 10 months by the Aboriginal Protection Board. She worked for an organization called : « Link-Up » in Canberra with tentacles all over the continent whose prescribed aim was to bring together parents and children thus forcibly separated by the authorities. Joy, finally, « linked-up » with her family 42 years after enforced separation. – Info culled from K. Gilbert’s Inside Black Australia,
Penguin, 1988.) T. Wignesan, Paris, December 16, 2016.
Les Souvenirs de Noël – Translation of Joy Williams’s « Memories of Christmas » by T. Wignesan
C’est 16 heures la veille de Noël et je pense de toi.
Je m’amuse en rappelant de ce que tu as dit : Noël est pour les
enfants –
Je pleurais car je ne jamais étais un enfant.
Je vois un arbre, tout allumé des guirlandes de Noël,
J’aperçois la réflexion des lumières dans les yeux de mes enfants tandis qu’ils dansaient autour de l’arbre avec une anticipation joyeuse.
Je me demande ce qu’elle aurait pu être la vie d’un enfant.
Est-ce que mes souvenirs auraient pu être heureux au lieu de rien ?
Est-ce que mes enfants se souviendront de leur enfance ?
C’est le matin de Noël,
J’entends des cries de joie,
On m’a réveillé d’un sommeil agité et j’ai senti deux pairs de bras autour de moi,
J’éprouve le sentiment qu’on a besoin de moi.
Dieu, comme j’aime mes enfants !
J’essaye d’apprécier le Noël à travers d’eux, mais, à l’intérieur, je pleure,
Une nonne arrive avec une boîte de vivres et je me sens maladive et vidée,
Elle comprend ce que je ressens. (Mettez la boîte là, je dis.)
C’est le soir de Noël,
Je suis fatiguée.
On m’aime.
© T. Wignesan – Paris, 2016
The emotion of your call came over me and I can't stay impassible
this silent keyboard which I can get wonderful sound
my fingers are moving, and can not resist petting and be sensible
the first notes escape and fly in dark night aground
The night is conducive to desire and fantasy
each note one by one is delicately balanced
stronger than a caprice, in pleasure I slip easily
Soft music flies to a new space, light and spiced
I feel within me with every movement of my hands
as a violent storm, strong and melodious
this wave through me and takes me far away to the end
in a world of accents lyrical and harmonious
The strength of a desire expressed beyond the mountains and seas
the inevitable need to create and to leave in the joy of playing
I lose myself In a divine and solitary ecstasy which it releases
under the sweet stare of the silvery moon smiling
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L'émotion de ton appel m'envahit et je ne peux rester insensible
sur ce clavier muet d'où peuvent sortir de belles sonorités
mes doigts glissent, commencent à le caresser, en gestes paisibles
les premières notes s'échappent et s'envolent avec célérité
La nuit est propice aux fantasmes et aux désirs
avec délicatesse chaque note est harmonieuse
plus fort qu'un caprice, je me laisse aller au plaisir
une musique douce vole vers une autre dimension gracieuse
Je sens en moi à chaque mouvement de mes mains
comme une violente bourrasque aux accords mélodieux
cette onde qui me traverse et qui m'emporte très loin
dans un monde aux accents lyriques harmonieux
La force d'un désir exprimé au delà des montagnes et des mers
le besoin inévitable de se livrer à la joie de jouer
libère mon extase divine et solitaire dans laquelle je me perds
sous le regard doux et bienveillant de la lune argentée.
Translation of Eric Mottram’s A Faithful Private 5 Homage to Humphrey Jennings by T. Wignesan
for Elaine Randell
à quoi sert le talent
si l’aire la mer et la terre
pollués les eaux coulent passant un peuple
qui n’a pas
l’intention de vivre
la-bas où la pelouse
est enlevée afin de libérer d’espace
pour un homme pour qu’il augmente
son espace pendant la période
de la guerre Les feus furent allumés
un travail par un homme dans une génération livrée
au loisir sans ressentir la culpabilité:
la façon qu’ils menèrent leur vie
c'est comme ça que la revolution
commence: la pollution alors
n'aviez pas d’origine
dans leur têtes:
ils se livraient à la peinture à la rame aux chansons
réalisaient des films pour le bureau central de la Poste:
une personne parmi eux entreprit une direction
en s’observant le geste
arrêté en mouvance arrêté
en se tournant sur lui même lequel devient un talent
des hommes et des femmes dans
l'aire la mer et la terre devenus
un gros danger pour la vie à cause des armes
l'exactitude contre l’exactitude
pour la survie voulue:
l’insanité arrive
avec la marée haute et basse
les ruisseaux qui coulent
loins à l’intérieur resistant
l'exploitation de cette grotesque
minérale conquise
la lune comme un homme
autrefois plongée dans des eaux
pour le choral blanc
dans des sables dorés
nageait dans une trance
le long d’un lit de la mer:
puis les hommes du parage
m'avait dit que cet endroit de la mer
fut choisi par les requins pour reproduire
venus d’autres lointaines mers
aux eaux peu profondes
où ils circulaient autour d’eux-même en amoureux:
à quoi bon
d'expérimenter ce frémissement
Involontaire
pendant qu’on fixe les yeux sur l’eau limpide:
ne pas penser
de soi-même
sans un besoin exigeant
(c) T. Wignesan - Paris, 2017
LES PAROLES DE MON
AME!
Il faut que je reste
fidèl à mon âme
Meme si que tu pense
autre chose à l’âme
J’aime
chanter,jouer,danser
avec ta voix !
J’ai besoin de ton
souffle pour
éclairer ma joie !
C’est simple pour
toi,pense à moi ;
Ici,c’est mon âme
qui parle avec toi :
“Il dit que j’adore
cette oiseau blanche
J’arrete a
palpiter,si son
front se pench
Je trouve le monde
sombre et béni
J’avais qu’un
souci,ta perdre et
fini !
La grâce emplit tes
yeux comme bijou ;
Comme l’éffet de ton
sourire ingénu !
Je lis ton regard
qui s’égaye au
mienne
J’écoute quelqu’un
dit :c’est trés
bienne !
En tournent j’ai vu
quelqu’un imvisible
C’était Don
Juan,murmure
impossible !
En ce moment j’écout
une autre personne
Il parle dans mon
âme comme dans sa
maison :
« Ami !pourquoi
contemplez vous sans
cesse ?
Le jour qui fuit,ou
l’ombre qui
s’abaisse ;
Quitte le
ciel,regard dans ton
âme ! »
Quand j’ai vu la
haute,precissement ;
J’ai connu cet
homme,c’était
Victor.H directement
!
En disparent dans la
nuit,il ajouta :
«Aime,à fin de
charmer tes heurs !
A fin que tu voit
dans ses beux yeux ;
Des voluptés
intérieurs
Le sourire
mistérieaux ! »
J’ai jetté des
bruits étranges dans
les aires
Personne ne repond
;j’étais dans désert
!
Maintenent mon âme
cri et pleur ;
Je pense que c’est
assez d’écouter de
mon coeur !
Il suffrit du fils
des grands douleurs
C’était ton
amour,souriant dans
mes pleurs !
Moein -DU LUNDI 16
AU MERCREDI 18
NOVEMBRE 2009
La Civilisation – Translation of Oodgeroo Noonuccal’s “Civilization” by T. Wignesan
Nous qui sont arrivés en retard à la civilisation,
Une lacune des siècles que nous ait laissé tomber,
Lors de votre arrivé à nos terres nous vous admirions émerveillés
Mais nous ne nous sentions pas effrayer.
A l’époque nous n’avions rien d’autre que le don d’être heureux,
Chaque jour un jour férié
Car nous étions des humains avant d’être des citoyens,
Avant d’être redevables aux impôts sur le revenu,
Et locataires, consommateurs, employés, paroissiens.
De quelle façon pourrions-nous comprendre
Les stratifications de l’homme blanc, toutes rigides et sans appel,
Vos totems sacrés, de Seigneurs et Dames,
Altesse et Sainteté, Eminence, Majesté.
Nous ne pourrions pas comprendre
Votre étrange culte de l’uniformité,
Cette adhérence totale à la ponctualité, discipline comme à programmer le travail.
Confus, nous nous doutions
De l’importance pour vous de l’urgence et de la signifiance
Des cravates et des gants, de cirage, de l’uniforme.
Des prisons et des orphelinats étant des nouveautés pour nous,
Des locations et des impôts, des banques et des hypothèques.
Nous qui possédons quasiment rien hormis les choses essentielles,
Nous n’avions pas des policiers, des avocats, des revendeurs intermédiaires,
Des courtiers, des financiers, des millionnaires.
Ainsi ces choses-là, tous ces merveilles nous avaient rendu abasourdis
Valeurs mobilières, le marché d’immobiliers,
L’intérêt composé, des ventes et des investissements.
Si nous avions pu nous en profiter et de nous faire élevés
Avec des telles connaissances nouvelles peut-être un nouveau monde aurait pu nous accueillir.
Absorbés de jour au lendemain dans de façon à vivre de l’homme blanc
Nous voilà acceptions avec résignation tout avec joie et reconnaissance,
Puisque c’est la voie de l’inévitable.
Mais souvenez-vous, Homme Blanc, si par contre la vie est faite pour atteindre la joie de vivre
Ne vous aussi nul doute éprouveriez grand besoin de changer.
© T. Wignesan – Paris, 2016
Un appel – Translation of Oodgeroo Noonuccal’s « An Appeal » by T. Wignesan
Les hommes d’Etat qui ourdissent les lois de la nation
Munis du pouvoir pour contraindre ceux qui résistent,
Guidez nous réaliser le but de notre cause:
Ceci est le devoir des dirigeants.
Les écrivains dont la nation toute entière sont à votre écoute
Vos plumes sont des sabres qui font reculer les opposants,
Parlez haut et clair de ce que nous sévit
Afin que tout le monde soit au courant.
Les syndicats qui soutiennent la démocratie
Protecteurs de la liberté sociale,
Soyez sensible à la justesse de notre plaidoirie
Et agissez-vous avec vigueur.
Les églises qui prêchent le Nazaréen,
Soyez de notre coté et intervenez en notre faveur.
Montrez-nous ce que c’est l’amour chrétien
Nous qui l’avons tant besoin.
La presse qui est dotée d’un pouvoir suprême,
Les déshérités vous en font appel:
Mettez fin à cette injustice et le fléau
Dont nous nous souffrons.
Tous les blancs qui nous soutiennent, en dernier lieu
Nos plus ardents espoirs se trouvent dans vos mains ;
L’opinion publique c’est notre meilleur ami
Pour lutter contre l’ennemi.
© T. Wignesan – Paris, 2016
It's the festival of the hearts
It's the festival of the Poets
The wonderful celebration of Valentine's Day
Let’s solemnize with everything and nothing this day.
Let's revere the Big Day
All year long, every day
The season of love with beautiful flowers
And hugs. Let’s enjoy the happy hours.
It's the celebration of unity
It's the day to be our best and fancy
For the great evening of love and grandeur
Let's enjoy this beautiful day together.
Flowers are everywhere
Today we have everything
It's the carnival of lovers. With a bang
Let’s spread the seeds of love everywhere.
P.S. This poem is dedicated to all lovers.
Copyright © February 2024, Hébert Logerie, All rights reserved.
Hébert Logerie is the author of several collections of poems.
La Merveilleuse Fête De La Saint-Valentin
C’est la fête des cœurs
C’est la fête des fleurs
La merveilleuse fête de la Saint-Valentin
Pour célébrer on a besoin de tout et de rien.
Célébrons le grand jour
Pendant toute l’année
La saison de l’amour
Avec des fleurs en beauté.
C’est la fête de l’union
C’est le jour d’être mignon
Pour la grande soirée de l’amour
Célébrons ensemble ce beau jour.
Les fleurs sont partout
Aujourd’hui, on a tout
C’est la fête des amoureux
C’est la fête des gens heureux.
P.S. Ce poème est dédié à tous les amoureux.
Copyright © Février 2024, Hébert Logerie, Tous droits réservés.
Hébert Logerie est l'auteur de plusieurs recueils de poèmes.
Les mots se heurtaient incapables de s’ordonner
Je ne me force pas oui je me force de m’exprimer
Je sens ma main flétrie par un silence impérissable
Est-il venu le temps de me venger ou d’extérioriser des sentiments palpables
Est-il venu le temps de prendre un bon soupir et laisser mon inconscient parler
Suis-je un personnage de théâtre qui a besoin d’une aide divine
Suis-je une malheureuse poétesse qui cherche un refuge où se retrouver
Me retrouver
Je suis la feuille d’un automne qui se déferle au bout du tunnel
Je suis la fille qui cris au secours mais le monde semble être sourd
Je suis la plaie de mon propre corps je suis l’être le plus décentré
(..)
Est-il si difficile de se plonger dans son imagination et de s’y perdre
Est-il si difficile de projeter tout son être
Est-il si difficile de s’identifier avec la nature, la nature du poète
Quand elle vous parle, nous parle..
Je suis l’esprit de la nature qui intéressait tant les poètes marginaux
Je vous écoute je vous lis je vous soulage je vous inspire et je vous effraye
Vous venez vers moi vulnérables incompris et pleins de mélancolie
Je vous chuchote je vous pénètre je vous envoie mes airs et ma sagesse
(..)
Béantes Tumulte du passé. Litige du présent. Espoir du futur.
Je zappe ! Mais de quoi je parle
Du contre sens de blablabla de n’importe quoi
Mais c’est quoi le sens si ce n’est que du non-sens en lui-même
Mes mots
Mes maux
Expriment la béante mélancolie
Mon accompagnatrice, ma moitié et ma confidente
Oh toi Spleen colossal achève moi
Avec toute la splendeur de ta ..
Une déception se concrétisant en une maladie
Un virus qui n’est pas forcément contagieux
Mais qui me trépasse
Monte et descend le long de mon corps
Se trébuche se faufile sort et rentre sans guise de permission
Mon ultime perdition
Need to spread out
is stronger than
Desire to get along
Aby M.
Besoin de s'étendre
est plus fort que
Désir de s'entendre
Aby M. (french)
Ne t’inquiète pas, un jour tu les retrouveras
Ceux qui nous ont quitté et qui ne sont plus la
Dis-toi que tu as gagné un ange gardien
Qui te protège dans cet environnement incertain
Ne verse plus des larmes de tristesse
Ça ne sert à rien de pleurer sans cesse
Pense qu’ils sont au paradis
Et qu'ils vivent une vie sans problème ni soucis
Je pense à toi chaque jour
En me rappelant ton affection et ton amour
Veille bien sur moi car j'ai besoin de toi
Je ne pourrai pas continuer sans toi
Transmets ton bonheur et ta joie
De mon cote je vais continuer ma vie an
Profitant de ces joies et de ces folies
je n'ai pas choisi mon nom
ma couleur ou ma religion
je n'ai pas choisi le liban
ni d'etre arriver dans ce temps
cependant mes amis
je vais choisr ma vie
il ne me reste plus beaucoup de temps
profitons encore des moments restant
meme les choses arrivent a leur fin
et rencontrent la mort a la fin du chemin
ceci est notre destin
alors pour cela profitons de demain
je veux etre heureux avec ce que la vie me donne
je vais rencontrer de nouveaux amis et de bonne personnes
je veux rencontrer mon ange gardien qui restera a mes cotes
je veux rencontrer l'etre qui restera pres de moi pendant leternite
peut etre il ne faut pas rever
car cette personne ne peut pas exister
cependant je sais qu'elle m'attend
je la chercherai tant que je suis vivant
avec mes experiences je grandirai
je devienrai un homme qui pourra tout affronter
je serai toujours la
pour les gens qui ont besoin de moi
ne t'inquiete pas
je ne disparaitra pas
quand tu voudras me parler
tu n'aura qu'a me contacter
je ne te laisserai jamais
et ceci restera la verite
peut etre on se rencontrera une autre fois
et que peut etre cette fois je pourrai etre a cote de toi
je ne sais pas si nos chemins vont se rencontrer
peut etre serait-ce la chance ou notre destinee
crois moi je ne t'oubierai pas
dans mon coeur tu resteras
si jamais je pourrai etre pres de toi
fais moi signe ne m'oublie pas
ton sourire est ce qu'il ya de plus beau
je ne peux pas te decrire avec des simples mots
ton bonheur est plus important que tout
avec tes yeux dores et ton regard aussi doux
sur ces mots je te dis a bientot
car non ce n'est pas la fin de notre histoire
meme si je sais que c'est impossible
tant qu'il ya de la vie, il ya de lespoir
En regardant les peintures,
je me rend compte d'un monde des génies,
où les choses racontaient des choses sans demander,
où il n'existait pas la trahison,
où la nature était en pleine forme,
où pour être belle une fille n'avait pas besoin de changer sa forme.
En regardant les peintures...