I feel like a poppy
in a field of hogweed
My sentences have run dry
I am rudderless in the wilderness
I lack a welter of letters
unassigned to the wherewithal
I am lost in a cave
unfree to ply my words
The storm clouds jettison their foray
Speechless I gain no semblance
as the autre bards attack me
walking in no one's land
slow to trust in myself
the world should awaken
with an uninhibited din
Aime-moi maintenant pendant que
Je peux t'aimer en retour.
Aime-moi maintenant quand, à vœux
Je peux allumer et éteindre le feu.
Aime-moi maintenant pendant que, encore
Je peux facilement expirer, inspirer et respirer.
Aime-moi maintenant pendant que
Je peux mirer clairement ta beauté.
N'attends pas demain ou un autre jour,
Quand je ne peux plus voir l'arc-en-ciel transitoire,
Quand je ne peux plus marcher seul sur le trottoir,
Et quand je ne peux pas sentir la fraîcheur du matin.
N’aime-moi pas seulement le jour de la Saint-Valentin,
Mais aussi quand je m'égare par erreur comme un pantin.
Aime-moi maintenant ou jamais,
Ainsi je peux rester béni et chançard pour toujours.
Peu importe l’état de mon esprit ou de mon humour,
N'arrête pas d'être docile et mignarde
A mon âme, à mon cœur,
Et à mon corps, avant que je démarre.
Copyright © Février 2022, Hébert Logerie, Tous droits réservés
Hébert Logerie est l'auteur de plusieurs recueils de poésie.
Reminiscence
In reminiscence
Why am I now, and not then?
C’est d’un autre sang
“The eternal mirror leads the minds of those who look in it to a knowledge of all things and better than in any other way.” Saint Augustine
Let us scrutinize the pandemic's mirror.
As in lesser and greater lights it
impresses its weird controtions by the
splendor of its ravage beyond the multicolored dome of
religious shrines east and west.
Il ne puet etre autre chose.
Molecule infused with viciousness and
darkness of its awe-inspiring glory
across earth's feeble plain with its
humbling effect without a token or trace of
mercy while April comes and goes like a
rebel without a cause in custody of
earth's listless life, a voyeur voyaging with
bones strewn in its cave seeking
death – the obscurant Orpheus' mirror sniffing out
hope's meticulous stance.
From the glimmering stars of the night,
To the silent hymns the wind utters and sighs;
I wondered, I wondered,
When will my heart ever flutter?
To dream of the one whom I wish to see;
Short curly hair and a smile that sets you at ease,
A voice as cold as the evening breeze,
Yet adorned, craved, a lullaby that calms the seas.
À mon autre moitié, I want you to be you
For I despise the unacceptance of one's flaws.
I will cherish every moment, every bit of you.
Worry not my dear, for I will truly love you.
For you I have forsaken thy wish to live free.
I now lock the cage for two, and two birds only.
his inability to find a person to answer
then someone reminded the others
of why he wished to know
his beliefs were supported by
others
people who wished to love
beyond the extension of their love
folk who wanted to be true and faithful
lovers together in the unity of love
some saw this as ways people who
wished to restrict those they despised
from having the things they wanted
and wished for: other saw this as weird
people weirded by love who's objections
were to have words to express their
appreciation to their lovers.
keep quiet those who see different
that their words may never be heard
yet the summers causes heat
might winters snow hide the paths of
those who wish not to be followed
who's summers are heated by a sun
which warms a earth for lovers:
than might the blankets of winter be the
snows of spring?
or might these blankets be the coverings of fall?
none wished to answer.
none wish to reply!
*****sapiens
|
Commune
|
Mega-family
|
Nuclear family
|
Sub-nuclear
fa mily
|
Autre
|
Oh! Endangered species?
-- Ram, R. V.
No never no calls
From daughter or son
No never it seems
Nobody no way.
Daughter is plastic
And son is too old
No never, no calls,
Never, no way.
Industrial pimping
To arouse a eyebrow,
But to take a mere moment
No, never, no way.
work in progress
Hier, je suis tombé dans la noirceur de la nuit
Dans la mer de tristesse
Aujourd'hui je me lève de la mer
Seul dans le brouillard
Un autre poète est né
La naissance d'un autre Beau Dommage
Hier, je suis tombé dans la noirceur de la nuit
Dans une mer de tristesse
Aujourd'hui, je me relève et sors de la mer
Seul dans le brouillard
Un autre poète est né
Translation
Yesterday, I fell in the blackness of the night
Into the sea of sadness
Today I crawl out of the sea
Alone in the fog
Another poet is born
épouvantail
s'il y avait eu
suffisante épouvantail
à effrayer
tous ceux qui essaient de
croa croa croa
au cours de la s'ensuit
cours des événements,
puis, éventuellement, il
aurait pu être un
raison de penser que
il y avait quelque chose,
quelqu'un, quelque part,
qui pourrait venir &
shoooooooooo
tout de suite problème --- est
que l'épouvantail
c'était juste un autre
blocus insuffisante
construit une brique à la
temps par les plus optimistes
qui ont cru tous les
mot que le
alarmistes ont dû
offrir et en très peu de
temps, le tout à fait
la colère irrépressible
tordait juste au-dessous
la surface d'un monde
complète de la blessure.
douleur référée
donc le cœur apporte avec elle la tragédie
simultanée et pour toujours
un autre jour passe, une autre personne va par,
un autre ami a reçu, une autre personne meurt et
la douleur ne peut pas s'inscrire au plus profond de,
au lieu qu'il s'écoule à d'autres parties du corps
être responsable de maux qui ont fini, faites nous en ---
est-ce vraiment le cancer?
est-ce vraiment un accident vasculaire cérébral?
est-ce vraiment une crise cardiaque,
ou ont été ces tragédies atroces engendré de chagrin? ---
quelque chose en suspens,
qui fait écho ans plus tard
envoyer tremblements de terre à travers la structure
envoyer chocs foudre à travers le squelette
reste,
tout au nom de
notre nature humaine ridicule
tout cela au nom de notre
petites idiosyncrasies de l'homme
qui, inévitablement, il est plus difficile de survivre
peu importe combien nous essayons.
Silence!
Do you here them call
Their footsteps
Upon the floor
Hide!
For if they find
Us
What calamity will they bring
Pray!
Fate has failed us
Remember!
Dawn’s coming
Wait!
Patience leads
Look!
A secret opening
Smile,
Happiness is a reach
Away
Like destiny
There’s always un autre jour
Comme a écrit un grand philosophe,
Il y a deux tragédies dans la vie.
L´une c’est de réaliser ses rêves
Et l´autre c’est de ne pas les réaliser.
Ah! Comme le temps passe vite,
Une année s’est écoulée et je ne peux dire
Si j’ai réaliser mes rêves ou pas.
J´avais envie de m´évader de cette maison,
De ce quartier, de cette ville, de ce pays ;
De créer un monde différent de celui dans le quel je vivais.
Mais je ne suis allé nulle part
Et j’ai rencontre des gens formidables qui comptent pour moi aujourd’hui
Et depuis, le quartier dans lequel je vis s’est métamorphosé.
Par ailleurs j’ai eu des angoisses, des remords
Et des espoirs envolés.
Hélas, c’est une nouvelle année qui va commencer
Et je me sens comme perdu au milieu de ce monde.