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Translation of Eric Mottram's Krim: Autobiography To September 1989- Iii By T Wignesan
Translation of Eric Mottram's Krim: Autobiography To September 1989- Iii By T Wignesan
Translation of Eric Mottram’s KRIM: AN AUTOBIOGRAPHY TO SEPTEMBER 1989 - III by T. Wignesan
( This poem is from the collection, ESTUARIES: Poems 1989-91. Twickenham: Solaris, 1992, 62p. Pub. by Yasmin and Peterjon Skelt. Back cover photo by David McIntosh, “my sister’s son” - Eric makes this a point of emphasis in his own hand on the fly page, for in his own words he was very close to his nephew in his later days. As the poem extends over four pages, I have divided it - for convenience sake - into three arbitrary parts. Just for the anecdote, Eric underwent severe memory erasures during a traumatic event in the seventies, and he had no clue as to who I was after a lapse of 22 years when we met up again in 1989. See extracts of his letters to me during the period 1957-61 in the festschrift: Eric Mottram at 70, pub. by Y. & P. Skelt.)
*
mes semblables et peut être également les vôtres aussi font semblant
ce que les autres personnes moins passionnées se sentent mais n’expriment pas
instinctivement rebellant contre un fait de notre société et de notre temps
le manquement de l’alignement entre un monde immense de l’intérieur
et d’un autre qui ne soit pas encore été légalisé ou officiellement
reconnu les formes qui peuvent tolérer la crue
des communications provenant de l’esprit à la scène d’action
de telles actes d’expression sont sévi par le sang avant
qu'elles puissent être tolérées et être comprissent par les psychiatres
sociologues l’appareil judiciaire la police (et) tout autres formes de la force sociale
*
l'émergence d’une démocratie émotionnellement meurtrière
dérangeaient les vieilles catégories
*
risquer tout en s’alignant à un point de vue qui
le conduira dans un conflit avec les plus normales (partagée par la majorité)
émotions humaines au milieu d’une société de masse?
*
nous pouvons changer les définitions sur la réalité lesquelles sont déjà peu soutenables
perdant leurs prises sur l’imagination conceptuelle
*
la peur et même la pensée en vigueur de ce qu’on majoritairement appela
l’insanité c’est presque une nécessité émotionnelle pour chaque sensible
être réagissant comme un humain entier de l’être humain en l’Amérique
et qu’elle sortes du feu à un point où d’autres mots
que les conceptions différentes soient crées là où se trouvent les plaies
(c) T. Wignesan - Paris, 2017
Copyright © T Wignesan | Year Posted 2017
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