Best Famous Prendre Poems
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Written by
Guillaume Apollinaire |
Du rouge au vert tout le jaune se meurt
Quand chantent les aras dans les forêts natales
Abatis de pihis
Il y a un poème à faire sur l'oiseau qui n'a qu'une aile
Nous l'enverron en message téléphonique
Truamatisme géant
Il fait couler les yeux
Voilà une jolie jeune fille parmi les jeunes Turinaises
Le pauvre jeune homme se mouchait dans sa cravate blanche
Tu soulèveras le rideau
Et maintenant voilà que s'ouvre la fenêtre
Araignées quand les mains tissaient la lumière
Beauté pâleur insondables violets
Nous tenterons en vain de prendre du repos
On commencera à minuit
Quand on a le temps on a la liberté
Bignorneaux Lotte multiples Soleils et l'Oursin du couchant
Une vielle paire de chaussures jaunes devant la fenêtre
Tours
Les Tours ce sont les rues
Puits
Puits ce sont les places
Puits
Arbres creux qui abritent les Câpresses vagabondes
Les Chabins chantent des airs à mourir
Aux Chabines marrones
Et l'oie oua-oua trompette au nord
Où le train blanc de neige et de feux nocturnes fuit l'hiver
O Paris
Du rouge au vert tout le jaune se meurt
Paris Vancouver Hyères Maintenon New-York et les Antilles
Le fenêtre s'ouvre comme une orange
Le beau fruit de la lumière
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Written by
T S (Thomas Stearns) Eliot |
ILS ont vu les Pays-Bas, ils rentrent à Terre Haute;
Mais une nuit d’été, les voici à Ravenne,
A l’aise entre deux draps, chez deux centaines de punaises;
La sueur aestivale, et une forte odeur de chienne.
Ils restent sur le dos écartant les genoux
De quatre jambes molles tout gonflées de morsures.
On relève le drap pour mieux égratigner.
Moins d’une lieue d’ici est Saint Apollinaire
En Classe, basilique connue des amateurs
De chapitaux d’acanthe que tournoie le vent.
Ils vont prendre le train de huit heures
Prolonger leurs misères de Padoue à Milan
Où se trouvent la Cène, et un restaurant pas cher.
Lui pense aux pourboires, et rédige son bilan.
Ils auront vu la Suisse et traversé la France.
Et Saint Apollinaire, raide et ascétique,
Vieille usine désaffectée de Dieu, tient encore
Dans ses pierres écroulantes la forme précise de Byzance.
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Written by
Dorothy Parker |
I'm sick of embarking in dories
Upon an emotional sea.
I'm wearied of playing Dolores
(A role never written for me).
I'll never again like a cub lick
My wounds while I squeal at the hurt.
No more I'll go walking in public,
My heart hanging out of my shirt.
I'm tired of entwining me garlands
Of weather-worn hemlock and bay.
I'm over my longing for far lands-
I wouldn't give that for Cathay.
I'm through with performing the ballet
Of love unrequited and told.
Euterpe, I tender you vale;
Good-by, and take care of that cold.
I'm done with this burning and giving
And reeling the rhymes of my woes.
And how I'll be making my living,
The Lord in His mystery knows.
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