Les Fleurs
Les fleurs, frissonnent et se fanent
et les feuilles brisées salissent la terre
tordu et froid - plane au rythme durent
comme des visages rompus, emprisonné d’une peinture
Et tes yeux noirs brûlent
comme le brouillard de ce soir
dans le ventre du chaudron ignoble
enlaidi par les marteaux de Hephaestus (le magnifique), qui serre
le charbon, qu'appelles-tu tes yeux - les diamants transpercent.
Copyright © Paul Sylvester | Year Posted 2005
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