Lyrics |
(T. Hannon)I Tr ès Rousse, aux longs yeux verts damnablement fendus Je la suivis chez elle, et bient ôt, sans chemise, Sur son lit de bataille elle se trouva mise, Offrant à mes ardeurs tous les fruits d éfendus.II Le chignon inondait de sa fauve avalanche Le torse aux grands prurits de cette Putiphar Le nombril incrustait sa fleur de n énuphar Aux lobes de son ventre un g âteau de chair blanche III Ses t étins étaient d'ambre effil és de carmin Ils tenaient tout entiers dans le creux de ma main. Elle entr'ouvrit le centre unique o ù tout converge.IV Son poil roux brasillait de flammes me dardant...- Mo ïse, c'est à vous, dans ce buisson ardent, Que je songeais, frappant le doux roc de ma verge V Tr ès rousse, aux longs yeux verts damnablement fendus Je la suivis chez elle, et bient ôt, sans chemise, Sur son lit de bataille elle se trouva mise Offrant à mes ardeurs tous les fruits d éfendus.
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